Les invocations essentielles du mois de Ramadan

Le Ramadan est le mois des invocations, du repentir, de la Miséricorde et de l’affranchissement du Feu. Les récompenses y sont multipliées à l’infini. Ainsi, nous devons profiter de ce mois pour nous enrichir spirituellement. Voici quelques invocations à apprendre et à reciter durant ce mois béni.

1 – Invocation à prononcer lors de l’apparition du croissant de lune (Alhilâl)

 الله أَكْـبَر اللّهُمَّ أَهِلَّـهُ عَلَيْـنا بِالأمْـنِ وَالإيمـان والسَّلامَـةِ والإسْلام، وَالتَّـوْفيـقِ لِما تُحِـبُّ رَبَّنـا وَتَـرْضـى رَبُّنـا وَرَبُّكَ الله

 « Allahu Akbar, Allahumma ahillu ’aleynâ bî-l-amni wâ-l-Îmân, wâ-s-salâmati wâ-l-Islâm wa-t-Tawfîq limâ tuh ibbu Rabbana wa tarDa Rabbunâ wa Rabbuka-l-lah »

« Allah est le Plus Grand ! Ô Seigneur ! Apporte-nous avec cette nouvelle lune la sécurité et la foi, le salut et l’Islam ainsi que la réussite dans tout ce que Tu aimes et que Tu agrées. Notre Seigneur et ton Seigneur est Allah. »

2 – Invocation à prononcer lors de la rupture du jeûne (AlIftar)

اللهم لك صمت وعلى رزقك افطرت وبك آمنت وعليك توكلت

Allâhoumma laka Soumtou, wa ’alâ rizqika aftartou, wa bika âmanntou, wa ’alayka tawakaltou.

« Seigneur ! C’est pour Toi que j’ai jeûné, et grâce à ta subsistance que j’ai rompu mon jeûne. Je crois en Toi, et je place ma confiance en Toi ».

 ﺫَﻫَﺐَ اﻟﻈَّﻤَﺄُ ﻭَاﺑْﺘَﻠَّﺖِ اﻟْﻌُﺮُﻭﻕُ، ﻭَﺛَﺒَﺖَ اﻷَﺟْﺮُ ﺇِﻥْ ﺷَﺎءَ اﻟﻠَّﻪ

Thahabadh-dhama’u wabtallatil-’urooqu, wa thabatal-’ajru ’inshaa’Allaah.

« La soif est dissipée, les veines sont abreuvées et la récompense est assurée si Allah le veut. »

 3 – Invocation à dire lorsque l’on cherche la Nuit du Destin (Laylatul-Qadr)

اللَّهُمَّ إِنَّكَ عَفُوٌّ تُحِبُّ الْعَفْوَ فَاعْفُ عَنِّي

 « Allahumma innaka ’Afuwwun tuhibbu-l-’afwa, fâ’fu ’annî »

 « Ô Allah Tu es Pardonneur, Tu aimes pardonner, alors pardonne-moi »

 4 – Invocation à prononcer le jour de l’Aïd en se dirigeant vers le lieu de prière

 « Allahu akbar, Allahu akbar, lâ ilaha illa Allah, wâ-l-ahu akbar, Allahu akbar wa lillahi-l-hamd »

« Allah est grand, Allah est grand, il n’y a de divinité qu’Allah, et Allah est grand, Allah est grand et à Lui sont les louanges »

 5 – Invocation dite par l’invité à son hôte

 أكل طعامكم الأبرار، وصلت عليكم الملائكة الأخيار، وأفطر عندكم الصائمون

 « Akala Ta’âmakumu-l-Abrâru wa Sallat ’aleykumu-l-Malâ-ikah wa afTara ’indakumu-s-Sâ-imûn »

« Que votre nourriture soit consommée par les pieux, que les Anges prient sur vous et que les jeûneurs rompent leur jeûne chez vous »

 6 – Se féliciter avec ces paroles le Jour de l’Aïd

 تقبل الله منا ومنكم

« Taqabala-l-lahu minâ wa minkum »

« Qu’Allah agrée nos bonnes actions et les vôtres »

L’équipe de Muslim Hands France vous souhaite à toutes et à tous un Ramadan Moubarak. Que Dieu vous accorde le bien, la piété et la sérénité.

Moussa et Safoura : L’amour né de l’épreuve

Sous la chaleur écrasante du désert de Madyan, un homme marchait, le regard perdu à l’horizon. Ses vêtements étaient couverts de poussière, ses pieds meurtris par la longue route. Cet homme, c’était Moussa (Moïse), le fils d’une lignée noble d’Égypte, mais aujourd’hui fugitif. Il avait quitté le palais de Pharaon après avoir, par accident, ôté la vie à un homme. Redoutant la colère du tyran, il avait fui vers l’inconnu, seul avec sa foi et son espoir en Allah.

Après plusieurs jours d’errance, affamé et épuisé, il atteignit un puits près de Madyan. Autour de l’eau, des hommes robustes abreuvaient leurs troupeaux, mais non loin de là, deux jeunes femmes retenaient leurs brebis, hésitantes.

Moussa, malgré sa fatigue, ne put détourner les yeux. Leur attitude intriguait son cœur bienveillant. Il s’approcha et leur demanda d’une voix douce :

— « Que faites-vous ici, et pourquoi n’abreuvez-vous pas vos bêtes ? »

L’une d’elles répondit avec modestie :

— « Nous attendons que les bergers s’en aillent, car nous ne pouvons nous mêler à eux. Notre père est un vieil homme, et nous devons nous occuper du troupeau. »

Touché par leur pudeur et leur difficulté, Moussa n’hésita pas. Il s’avança vers le puits, écarta les bergers sans violence, et puisa l’eau pour les jeunes femmes. Ses muscles, bien que fatigués, puisèrent une force insoupçonnée dans son âme altruiste. Une fois leur tâche accomplie, les jeunes femmes partirent, laissant Moussa seul avec son sort.

Épuisé, il s’adossa contre un arbre et leva les mains vers le ciel :

— « Ô Seigneur, j’ai grand besoin du bien que Tu voudras me donner. »

Un destin guidé par la foi
Quelques heures plus tard, alors que le crépuscule dorait l’horizon, l’une des jeunes femmes revint vers lui, timide et pudique.

— « Mon père t’invite, afin de te récompenser pour nous avoir aidées. »

Moussa la suivit jusqu’à leur maison, où il rencontra leur père, un vieil homme sage que certains savants identifient comme le prophète Shu’ayb (Jethro). Après avoir écouté son histoire, le vieil homme vit en lui un homme droit et de confiance. Il lui fit alors une offre inattendue :

— « Je souhaite te marier à l’une de mes filles, à condition que tu travailles pour moi huit ans, et si tu en fais dix, ce sera de ton plein gré. »

Moussa, qui n’avait rien d’autre que sa foi et sa force, vit en cette offre une miséricorde d’Allah. Il accepta sans hésitation.

Ainsi, il épousa Safoura (Séphora), la jeune femme pudique qu’il avait aidée au puits.

Un amour forgé dans la patience
Les années passèrent, et un amour sincère naquit entre Moussa et Safoura. Elle n’était pas une reine, il n’était pas un prince, mais leur union reposait sur la foi, la loyauté et la patience.

Safoura voyait en son époux un homme au cœur pur, un homme de vérité et de courage. Elle le soutint dans ses épreuves, dans ses prières, et dans ses doutes. Quand vint le jour où il termina son engagement, elle marcha à ses côtés dans le désert, vers un destin que seul Allah connaissait encore.

C’est lors de ce voyage, en pleine nuit, qu’un feu mystérieux apparut au loin. Moussa s’en approcha… et entendit la voix d’Allah l’appeler. C’est ainsi qu’il fut choisi comme prophète, porteur du message divin.

Et Safoura, fidèle et discrète, devint la femme du plus grand des libérateurs.

Un amour béni par Allah
L’histoire de Moussa et Safoura est celle d’un amour qui ne naît ni dans le luxe ni dans la facilité, mais dans l’épreuve et la confiance en Allah. C’est une histoire où la noblesse ne se mesure pas en richesses, mais en droiture et en foi.

Ainsi, le destin d’un homme poursuivi par la tyrannie devint celui d’un messager de vérité, et l’amour d’une femme modeste devint le soutien silencieux d’un prophète.

حقوق الأبناء على الوالدين في الإسلام: المسؤولية والإحسان

الحمد لله

للآباء حقوق على أبنائهم، ولكن للأبناء أيضًا حقوق على والديهم، كما أمر الله تعالى:

«يَا أَيُّهَا الَّذِينَ آمَنُوا قُوا أَنْفُسَكُمْ وَأَهْلِيكُمْ نَارًا وَقُودُهَا النَّاسُ وَالْحِجَارَةُ»
(القرآن الكريم، 6:66)

وقال النبي صلى الله عليه وسلم:

«كلكم راعٍ، وكلكم مسؤول عن رعيته.»
(رواه البخاري ومسلم)

حقوق الأبناء على الوالدين:

  1. اختيار والدين صالحين: اختيار الزوجة والزوج الصالحين لضمان تنشئة سليمة للطفل.
  2. توفير الاحتياجات الأساسية: من طعام وسكن ولباس واختيار اسم حسن.
  3. التربية الدينية والأخلاقية: تعليم القيم الإسلامية، حماية الإيمان، وإعدادهم لحياة كريمة.

وقد أكد ابن القيم رحمه الله أن إهمال تربية الأبناء يؤدي غالبًا إلى انحرافهم، مما يضر بحياتهم في الدنيا والآخرة.

وأخيرًا، حتى إن قصّر الوالدان في واجباتهما، يجب على الأبناء معاملتهما بالإحسان، كما أمر الله تعالى:

«أَنِ اشْكُرْ لِي وَلِوَالِدَيْكَ.»
(القرآن الكريم، 14:31)

والله أعلم.

Children’s Rights Over Their Parents

Parents have rights over their children, but children also have rights over their parents, as Allah has commanded:

« O you who have believed, protect yourselves and your families from a Fire whose fuel is people and stones. »
(Quran, 66:6)

The Prophet (peace and blessings be upon him) said:

« Each of you is a shepherd, and each of you is responsible for his flock. »
(Reported by Al-Bukhari and Muslim)

Children’s Rights Over Their Parents:

  1. Choosing righteous parents: A pious spouse ensures a strong foundation for the child’s upbringing.
  2. Providing essential needs: Food, shelter, clothing, and a good name.
  3. Religious and moral education: Teaching Islamic values, protecting their faith, and preparing them for an honorable life.

Ibn al-Qayyim emphasized that neglecting children’s upbringing often leads to their deviation, harming their life in this world and the hereafter.

Finally, even if parents fail in their duties, children must always treat them with kindness, as Allah has commanded:

« Be grateful to Me and to your parents. »
(Quran, 31:14)

Allah knows best.

Les Droits des Enfants sur leurs Parents en Islam

Les parents ont des droits sur leurs enfants, mais les enfants ont également des droits sur leurs parents, comme Allah l’a ordonné :

« Ô vous qui avez cru ! Préservez vos personnes et vos familles d’un Feu dont le combustible sera les gens et les pierres. »
(Coran, 66:6)

Le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) a dit :

« Vous êtes tous des bergers, et tout berger est responsable de son troupeau. »
(Rapporté par Al-Boukhari et Mouslim)

Droits des enfants sur leurs parents :

Bon choix des parents : Un époux et une épouse pieux et vertueux pour assurer une éducation solide.

Satisfaction des besoins essentiels : Nourriture, logement, vêtement, et choix d’un beau nom.

Éducation religieuse et morale : Enseigner les valeurs islamiques, protéger leur foi et les préparer à une vie honorable.

Ibn al-Qayyim a souligné que négliger l’éducation des enfants mène souvent à leur dévoiement, affectant leur vie ici-bas et dans l’au-delà.

Enfin, même si les parents manquent à leurs devoirs, les enfants doivent toujours les traiter avec bienveillance, comme Allah l’a prescrit :

« Sois reconnaissant envers Moi ainsi qu’envers tes parents. »
(Coran, 31:14)

Allah est le Plus Savant.

Invocations qui peuvent aider à sortir d’une situation difficile

Louange à Allah et que la paix et la bénédiction soient sur Son Prophète et Messager, Mohammed, ainsi que sur sa famille et ses Compagnons :

L’imam Ahmad, al-Bazzâr et d’autres ont rapporté d’après Ibn Mas‘ûd, qu’Allah soit satisfait de lui, que le Messager d’Allah a dit :

« Quiconque a de la peine et de la tristesse et prononce cette invocation : « ‘Allahumma innî ‘abduka, ibnu ‘abdika, ibnu amatika nâsiyatî biyadika, mâdin fiyya ‘hukmuka , ‘adlun fiyya qadâ`uka, as`aluka bikulli ismin huwa laka, sammayta bihi nafsaka, aw anzaltahu fi kitâbika, aw ‘allamtahu ahadan min khalqika, aw ista`tharta bihi fi ‘ilm al-Ghaybi ‘indaka : an tadj’al al-Qur`ân al-‘Azhîma rabî’ qalbî wa djalâ` huznî wa dhahâba hammî »

اللَّهُمَّ إِنِّي عَبْدُكَ ابْنُ عَبْدِكَ ابْنُ أَمَتِكَ نَاصِيَتِي بِيَدِكَ، مَاضٍ فِيَّ حُكْمُكَ، عَدْلٌ فِيَّ قَضَاؤكَ أَسْأَلُكَ بِكُلِّ اسْمٍ هُوَ لَكَ سَمَّيْتَ بِهِ نَفْسَكَ أَوْ أَنْزَلْتَهُ فِي كِتَابِكَ، أَوْ عَلَّمْتَهُ أَحَداً مِنْ خَلْقِكَ أَوِ اسْتَأْثَرْتَ بِهِ فِي عِلْمِ الغَيْبِ عِنْدَكَ أَنْ تَجْعَلَ القُرْآنَ رَبِيعَ قَلْبِي، وَ نُورَ صَدْرِي وَ جَلاَءَ حُزْنِي وَ ذِهَابَ هَمِّي.

(Seigneur, je suis Ton serviteur, le fils de Ton serviteur et de Ta servante, je suis à Ta merci, mon toupet est dans Ta Main, je suis soumis à Ton Savoir et Ton décret est justice. Je T’implore par tous les Noms que Tu T’es attribués, que Tu as révélés dans Ton Livre, ou enseignés à l’une de Tes créatures, ou que Tu as occultés et dont Tu es le Seul connaisseur, de faire du Noble Coran le printemps de mon cœur, un moyen de dissiper ma tristesse et mes angoisses)’ verra Allah dissiper ses soucis et sa tristesse et les remplacer par la joie ».

Répète souvent cette invocation et Allah transformera votre peine en joie. Nous vous recommandons de même d’acquérir les livres d’évocations utiles comme al-Wâbil al-Sayyib de Ibn al-Qayyim, al-Kalim al-Tayyib de Ibn Taymiya, al-Adhkâr de al-Nawawi et Hisn al-Mouslim de Sa‘îd ibn Wahf al-Qahtâny.

Et Allah sait mieux.

Choisir une femme belle ?

Il est rapporté de l’Imam Ahmad Ibn Hanbal, qu’il a dit :

« Il incombe à l’homme, s’il veut se marier, d’interroger au sujet de la beauté de la femme, si elle lui plait, il demande alors au sujet de sa religion, si celle-ci lui plait il l’accepte, et si elle ne lui plait pas alors il la refuse », donc son consentement et son refus auront été pour quelle raison ?

Pour la religion.

Et les jeunes de nos jours inversent les choses, il demande en premier au sujet de la religion, s’ils lui disent c’est une femme pieuse, elle prie, elle jeûne et ci et ça, alors il demande au sujet de sa beauté, s’ils lui disent « couci-couça », il la délaisse. Son refus aura été pour quelle raison ?

Pour la beauté.

Non !

L’imam Ahmad enseignait aux gens que le sujet n’est pas tel quel. Interroges au sujet de la beauté, en effet, la beauté est requise.

Interroges au sujet de la beauté. Ainsi, si sa beauté te plait, alors demandes au sujet de sa religion, et si sa religion te plait alors tu l’épouses et si sa religion ne te plait pas tu la refuses.

Tu l’auras alors acceptée en raison de la religion et tu l’auras refusée en raison de la religion.

Et ceci est une indication de l’imam Ahmad que la beauté est une chose requise et l’instinct la convoite.

Mais j’attire l’attention ici sur certaines choses :

La première

La beauté excessive peut être un obstacle pour le jeune homme le détournant de son adoration, son travail et sa vie, elle le distrait.

Et ceci est l’explication de ce qui est rapporté d’après Abu Bakr As-Siddiq رضي الله عنه ou d’après Omar Ibn Al Khattâb رضي الله عنه, qu’il a ordonné à un de ses fils de divorcer son épouse, ils dirent :

« car elle l’a distrait par sa beauté ».

Le fils ne voulait que s’asseoir à côté d’elle c’est tout, il ne veut aller ni à droite ni à gauche, il reste juste assis près d’elle (le Cheikh rigole) qu’est-ce qu’il veut !

Lorsque le père vit l’état du fils il lui ordonna de la divorcer.

Pourquoi ?

Car il craignit pour la religion de son fils à cause d’elle, car elle est belle et sa beauté l’a distrait.

Et cela signifie que ce qui est voulu par beauté Ô mon frère ce n’est pas que tu exagères, surtout aujourd’hui Ô les jeunes, en cette époque dans laquelle se sont multipliées les chaînes télévisées qui exhibent des jeunes filles d’une belle apparence.

Alors le jeune garde en lui-même l’image d’une de ces images et se met à la rechercher, il veut une femme telle que celles-là.

Ceci est une erreur, et cela ne convient pas.

Ce qui incombe au jeune c’est de rechercher une femme avenante, soignée, jolie, qui soit ni repoussante ni hideuse, sans défectuosités et difformités.

Et ce point, il est essentiel aux gens d’y prêter attention.

Ce qui est voulu des savants lorsqu’ils évoquent la beauté ce n’est pas que l’homme recherche cette beauté qui distrait, ou cette beauté par laquelle l’homme est éprouvé en étant détourné de son adoration. 

Le deuxième point sur lequel j’attire l’attention au sujet de la beauté

Ceux qui ont expérimenté et ont connu le cas des femmes, il dit : « Par Allâh ! Avec la vie commune et la bonne attitude, tout change », comment ?

Il dit : « J’ai épousé une femme, d’une très grande beauté, mais lorsque j’ai vécu avec elle, et j’ai vu qu’elle était hautaine et orgueilleuse, qu’elle n’accomplit pas correctement les tâches du foyer et qu’elle n’agit pas convenablement avec moi, et que je n’entends d’elle que des paroles déplaisantes, je me suis mis à la détester, je la voyais avec sa beauté et je la détestais »

Il dit : « Je n’ai ressenti la délectation du mariage, la saveur du bonheur conjugal, et la joie d’être un époux et qu’elle soit une épouse, que lorsque je l’ai divorcé et que j’ai épousé une deuxième femme d’une beauté moindre que la sienne, mais qui serait presque d’un niveau normal, j’ai éprouvé le repos et la quiétude que le Qur’ân mentionne au sujet de la relation entre un homme et son épouse ». 

Aussi, le troisième point sur lequel je veux attirer l’attention

C’est que la véritable beauté, c’est la beauté de la façon d’agir, la beauté de caractère, la beauté du bon rapport conjugal entre la femme et son époux.

Et si l’homme épouse une femme dont la beauté est banale, cela est à plus forte raison, par la permission d’Allâh, avec son (la femme) bon comportement, et sa bonne relation conjugale, de faire en sorte qu’elle le réjouira quand il la regardera.

Cet homme là qui avait une belle épouse, a dit après un certain temps : « J’en suis arrivé, lorsque je la regarde, à ressentir de l’affliction et du ressentiment, elle ne m’apaise pas, je ne suis pas apaisé »

Ainsi la véritable beauté qu’il incombe a l’homme de rechercher, c’est la beauté de caractère et de la religion, avec la simplicité, qu’il n’exagère pas et qu’il ne soit pas dupé par les photos qu’il voit et il recherche des femmes selon ces photos là, cela est contraire à la législation, et même certains salafs ordonnaient à leur fils de divorcer leur épouse du fait qu’ils voyaient le fils se distraire par sa beauté.

S’il se distrait par sa beauté c’est fini, il ne voudra plus aller travailler, il ne voudra plus partir au combat au moment de combattre.

Que peut bien vouloir un père avec une telle femme pour son fils ?

Il lui ordonnait donc de divorcer car elle l’avait distrait, car elle l’avait détourné.

Alors nous disons que ce qui est voulu par la beauté, c’est la beauté normale, dans le sens qu’il ne doit pas y avoir de défauts sur la femme, dans le sens que la femme ne doit pas avoir de défauts.

Et si la femme est belle dans son corps ou son visage alors par sa mauvaise attitude elle fera fuir l’homme d’elle-même. 

أكملي دراستك أم ستتزوجين؟

الزواج والتعليم جانبان مهمان من جوانب الحياة التي يمكن أن تبدو في بعض الأحيان في المنافسة. وإليكم تأملًا في هذا الموضوع، مستنيرًا بالتعاليم الإسلامية.

أهمية الزواج في الإسلام

وقد أكد النبي محمد (صلى الله عليه وسلم) على أهمية اختيار شريك الحياة على أساس الدين والأخلاق. قال :

«إذا جاءكم من ترضونكم دينه وخلقه فاقبلوه. »

  • رواه الترمذي في باب الزواج (رقم ١٠٨٤).

كما حث الشباب على الزواج حفاظاً على عفتهم وغض أبصارهم:

« أيها الشباب! من استطاع منكم أن يحتمل وزر الزواج فليتزوج. وبذلك يكون قادراً على غض بصره بشكل أفضل، ويحافظ على عفته. »

  • رواه البخاري، باب النكاح (رقم 5065، 5066)، ومسلم أيضاً، باب النكاح (رقم 1400).

إن رفض الزواج يمكن أن يحرم الأفراد من الفوائد الروحية والأخلاقية التي يجلبها.

الدراسات والزواج: إيجاد التوازن

من الضروري إيجاد توازن بين مواصلة التعليم والزواج. فيما يلي بعض النصائح والاعتبارات:

  1. شروط مواصلة الدراسة : يجوز للمرأة أن تشترط زواجها أن تستمر في دراستها حتى الانتهاء منها أو أن تستمر في التدريس لمدة محددة، ما دامت لم تنشغل بعد بالمسؤوليات العائلية كالأطفال.
  2. فائدة الدراسات : من المستحسن مراجعة مدى أهمية الدراسات المتعمقة في المجالات التي ليست مفيدة بشكل مباشر. غالبًا ما يُعتبر التعليم الأساسي الذي يمكّن من القراءة والكتابة، ويوفر المهارات اللازمة لقراءة وشرح القرآن والحديث، كافيًا.
  3. الدراسات الأساسية : من المهم السماح للمرأة بمتابعة الدراسات الأساسية مثل الطب، بشرط ألا تحتوي هذه الدراسات على عناصر محظورة، مثل الاختلاط المفرط أو غير ذلك من الممارسات التي لا تتفق مع مبادئ الإسلام.

خاتمة

ولا ينبغي النظر إلى قرار الزواج أو مواصلة التعليم على أنه خيار حصري. ومن خلال التواصل المفتوح والاتفاقيات الواضحة بين الشركاء، من الممكن متابعة الطموحات التعليمية للفرد مع الاستمتاع بفوائد الزواج. ويجب على الأوصياء والأسر تشجيع الشابات على إيجاد هذا التوازن، وبالتالي ضمان نموهن الروحي والأخلاقي والفكري.

Continue your studies or get married?

Marriage and education are two important aspects of life that can sometimes seem in competition. Here is a reflection on this subject, informed by Islamic teachings.

Importance of marriage in Islam

Prophet Muhammad (peace and blessings of Allaah be upon him) emphasized the importance of choosing a life partner based on religion and morality. He said :

“When someone comes to you (to marry your daughter) who satisfies you with his religion and morality, then accept him. »

  • Reported by At-Tirmidhî in the chapter of marriage (n°1084).

He also encouraged young people to marry to preserve their chastity and lower their gaze:

“O young people! Whoever among you is able to bear the burden of marriage, let him marry. He will thus be able to lower his gaze better and preserve his chastity. »

  • Reported by Al-Bukhârî in the chapter on marriage (n° 5065 and 5066), and by Muslim also in the chapter on marriage (n° 1400).

Refusal to marry can deprive individuals of the spiritual and moral benefits it brings.

Studies and marriage: a balance to find

It is essential to find a balance between further education and marriage. Here are some tips and considerations:

  1. Conditions for continuing studies : A woman may make it a condition of her marriage that she continue her studies until completion or continue teaching for a specified period, as long as she is not yet occupied by family responsibilities such as children.
  2. Usefulness of studies : It is advisable to review the relevance of in-depth studies in areas that are not directly useful. A basic education that enables reading and writing, and provides the skills needed to read and explain the Quran and hadith, is often considered sufficient.
  3. Essential studies : It is important to allow women to pursue studies in essential fields such as medicine, provided that these studies do not contain prohibited elements, such as excessive mixing or other practices not in accordance with Islamic principles. .

Conclusion

The decision to marry or continue education should not be seen as an exclusive choice. With open communication and clear agreements between partners, it is possible to pursue one’s educational ambitions while enjoying the benefits of marriage. Guardians and families must encourage young women to find this balance, thereby ensuring their spiritual, moral and intellectual development.

Poursuivre ses études ou se marier ?

Le mariage et les études sont deux aspects importants de la vie qui peuvent sembler parfois en concurrence. Voici une réflexion sur ce sujet, éclairée par des enseignements islamiques.

Importance du mariage en Islam

Le Prophète Muhammad (paix et bénédictions d’Allah sur lui) a souligné l’importance de choisir un partenaire de vie basé sur la religion et la moralité. Il a dit :

« Lorsque se présente à vous (pour marier votre fille) celui qui vous satisfait par sa religion et sa moralité, alors acceptez-le. »

  • Rapporté par At-Tirmidhî dans le chapitre du mariage (n°1084).

Il a également encouragé les jeunes à se marier pour préserver leur chasteté et baisser leur regard :

« Ô jeunes gens ! Celui parmi vous qui peut assumer les charges du mariage, qu’il se marie. Il pourra ainsi mieux baisser son regard et préserver sa chasteté. »

  • Rapporté par Al-Bukhârî dans le chapitre du mariage (n° 5065 et 5066), et par Muslim également dans le chapitre du mariage (n°1400).

Le refus du mariage peut priver les individus des bienfaits spirituels et moraux qu’il apporte.

Études et mariage : un équilibre à trouver

Il est essentiel de trouver un équilibre entre la poursuite des études et le mariage. Voici quelques conseils et considérations :

  1. Conditions pour poursuivre les études : Une femme peut mettre comme condition à son mariage la possibilité de poursuivre ses études jusqu’à leur achèvement ou de continuer à enseigner pendant une période déterminée, tant qu’elle n’est pas encore occupée par des responsabilités familiales telles que les enfants.
  2. Utilité des études : Il est conseillé de revoir la pertinence des études poussées dans des domaines qui ne sont pas directement utiles. Une éducation de base qui permet de lire et d’écrire, et qui donne les compétences nécessaires pour la lecture et l’explication du Coran et des hadiths, est souvent considérée suffisante.
  3. Études indispensables : Il est important de permettre aux femmes de poursuivre des études dans des domaines indispensables comme la médecine, à condition que ces études ne contiennent pas d’éléments interdits, tels que la mixité excessive ou d’autres pratiques non conformes aux principes islamiques.

Conclusion

La décision de se marier ou de poursuivre ses études ne devrait pas être vue comme un choix exclusif. Avec une communication ouverte et des accords clairs entre les partenaires, il est possible de poursuivre ses ambitions éducatives tout en bénéficiant des bienfaits du mariage. Les tuteurs et les familles doivent encourager les jeunes femmes à trouver cet équilibre, assurant ainsi leur épanouissement spirituel, moral et intellectuel.